composée de deux séries :
Vie antérieures de 2018 à 2022
Comme une quête mystique, l’on chemine à la recherche d’un dialogue possible avec la nature ; Après avoir plonger sciemment dans le cyclone d’un marais en plein hiver et religieusement dans le reflet d’un d’étang ou des dolmens émergent, j’y ai vu mes propres vies.
peuplés d’êtres sur-naturels, des femmes et des hommes… des histoires de vies passées… le jeu est le sens.
Mais l’image n’est pas la peinture que je cherche depuis 2016, depuis ce plongeon d’art cinétique des poissons frayant dans les marais.
Il y a quelque chose d’autre, dans ces paysages, quelque chose de caché dans les reflets de ces no man’s land.
La touche se fait gestuelle et mécanique, accueillant l’épiphanie, à travers la vibration de la lumière.
Plus j’avance dans cette série et plus la gestuelle se veut en accord avec ce que je devient ; naturel, être la nature dans une écriture peinte, comme un rituel d’ouverture et de réflexions…

2018, 30 x 30 cm, huile sur toile, Collection particulière

2018, 30 x 30 cm, huile sur toile
Collection de l’Artiste
La réflexions des rochers
discussion sur la question de l’image, série qui s’étend de 2017 à 2022, intégré la notion de la paréidolie dans le travail pictural mais aussi d’une réalité dans la réalité, soit le monde l’invisible.
Interrogation autour du travail de Gaston Chaissac et de la figuration dans un objet banal, caillou, bois, etc…
La paréidolie :
Type d’illusion qui fait qu’un stimulus vague ou ambigu est perçu comme clair et distinct par un individu. Autrement dit, tendance instinctive à trouver des formes familières dans des images désordonnées (dans les nuages, les constellations, les rochers…)

ou le théâtre paréidolique 2019 Huile sur toile, 114 x 146 cm. Collection particulière
partie de pèche dans les rochers entre un frère et une sœur. Leur attitude s’oppose : alors que le garçon fouille obnubilé .La jeune femme, elle, semble être complétement absorbée par les rochers où serais-ce le contraire ?